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Partir vivre à l'étranger a été mon chemin d'éveil. 
Il arrive que ce qui nous déstabilise soit justement ce qui nous ramène à nous-même.

Anelor, Coach en éveil de soi

QUI SUIS-JE ? 

Les débuts : la réussite

Quand je suis partie vivre à l'étranger, je cherchais l'ailleurs : d'autres langues, d'autres façons de vivre et de penser.

Ce que je n'avais pas anticipé, c'est qu'en m'ouvrant à cet ailleurs, je me découvrirais moi-même. Que je réaliserais à quel point, comme nous tous, je portais un masque social construit depuis l'enfance.

À 23 ans, j'ai quitté la France portée par l'enthousiasme.

La vie a été généreuse : cheffe de produit pour Swatch au Moyen-Orient avec 11 boutiques et 17 employés, puis cofondatrice d'une société de relocation devenue une référence à Dubaï (12 employés, 130 familles relogées dans les 12 derniers mois de son exercice).

Le succès, la reconnaissance, la valorisation. Mon sentiment de valeur dépendait du retour de mes clients, de mes collaborateurs... et surtout du regard des autres.

L'Effacement progressif

3 relocations en 5 ans. Une toute autre expérience avec le statut peu glorieux de « mère au foyer suivant son conjoint ».

Je manquais profondément de repères, alors que je devais pourtant en créer pour ma famille. J'avais dit « oui » à chaque départ, mais je ressentais malgré tout une impuissance, une perte de contrôle sur ma vie.
 

Ma tendance à faire passer les besoins des autres avant les miens avait pris le dessus sur mes aspirations profondes. Cette tendance était présente depuis l'enfance – elle était même valorisée – mais dans une vie où il était possible de concilier les besoins des autres avec mes propres élans, je m'en sortais sans trop de casse.
 

Dans ce nouveau contexte, l'oubli de moi m'a coupée de mes élans. Je me suis inconsciemment déconnectée de mes aspirations – il valait mieux ne pas en avoir que de ne pas les voir se réaliser.

La joie qui m'habitait s'est endormie pour ne pas être abîmée, un vide s'est installé à l'intérieur. Il était difficile pour moi d'en parler, je ne trouvais pas les mots.

Je ne voulais pas m'écrouler… j'étais supposée être le pilier de ma famille.

Le réveil intérieur

C’est à ce moment-là, en 2017, que j’ai rencontré une coach.
Elle m’a aidée à
ouvrir les yeux sur les conditionnements qui m’avaient menée à cet état de déconnexion. Le chemin vers moi a commencé là.

 

J’ai découvert qu’il ne s’agissait pas d’acquérir quelque chose que je n’avais pas, mais de lever les conditionnements qui m’empêchaient d’accéder à mes qualités innées qui me permettraient d'être librement moi. Quelques unes de mes prises de conscience: 

  • L'affirmation de moi était bloquée par la croyance qu'il ne faut pas s'imposer, se mettre en avant ou déranger.

  • Ma confiance, était freinée par la part de moi qui a peur de l’échec.

  • Mon conditionnement à éviter les conflits pour préserver le lien, m’empêchait de poser des limites justes et alignées.
     

En rencontrant ces parts en moi (et bien d'autres), j’ai retrouvé peu à peu une plus grande liberté d’être, de confiance et d’alignement. 

 

Paradoxalement, l’oubli de moi que m’a offert l’expatriation s’est révélé être un cadeau, celui de cheminer vers une version plus vivante et juste de qui je suis, ma nature profonde. 

De mon chemin au vôtre

Et comme aider les autres fait profondément partie de ma nature, j’ai choisi de mettre mon expérience au service d’autres femmes qui, elles aussi, se sont mises entre parenthèse pour rendre le projet d'expatriation possible pour leur famille.

 

Je me suis formée au coaching et à la méditation pour vous accompagner, à votre tour,

sur le chemin de retour vers votre nature profonde, depuis laquelle vous pourrez rayonner de façon juste et alignée.

Prête à commencer votre chemin vers vous ? 

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Mes expatriations

Chacune de mes expatriations m’a apporté quelque chose de singulier.
Ce qu’elles ont en commun, c’est qu’elles m’ont toutes permis de me découvrir un peu plus…​

Vivre au contact de façons de penser et de vivre différentes des miennes m’a invitée à prendre du recul sur ma propre culture, et sur la manière dont j’avais été conditionnée.​

Voici un aperçu de ces voyages extérieurs, qui ont profondément nourri mon voyage intérieur.

Image de David Rodrigo

- Du marketing corporate à l'entrepreneuriat -

Mes compagnons de route

Stan : On est partis ensemble de France, mariage en 2002

Mahaut : née en 2005

Inès : née en 2008
 

Mes réalisations

Stage de fin d’études – Marketing Lacoste & Ralph Lauren (6 mois)

Premier job – Brand Manager Swatch (2 ans)

  • Supervision de 11 boutiques et 17 employés au Moyen-Orient

  • Marketing, communication et merchandising

  • Management et formation du staff

  • Développement commercial et ouvertures de points de vente
     

Entrepreneuriat #1 – Daily’s Sandwiches

  • Service de livraison de repas en entreprise
    "Échec" au bout de 6 mois → Manque d’anticipation de certains défis

 

Entrepreneuriat #2 – Daily’s Relocation

  • Service d’installation pour les expatriés et leurs familles

  • 10 employés, 100 familles relogées/an

  • Clients : Barclays, Société Générale, L’Oréal, Airbus, Dior, Chevron…
    "Réussite" entrepreneuriale sur 6 ans

Une leçon de vie 

J'ai appris que l’échec était vraiment un apprentissage. Les échecs de Daily's sandwiches ont permis le succès de Daily's Relocation. 

DUBAÏ
2000 - 2009

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